Les cartes postales sont à l'honneur (ainsi que de nombreuses photos) afin d'illustrer l'exposition dans le hall de la Mairie "Bezannes d'hier à aujourd'hui".
A découvrir, également dans le Hall de la Mairie, une exposition d'artisanat local.
Dans l'Espace Helios de la Mairie de Bezannes, la passionnante exposition : "Bezannes, quand le passé rencontre le futur", mise en œuvre par le service archéologique du Grand Reims.
De nombreuses animations sont également proposées :
Parcours libre dans le village, à pied, ou en Tuk-Tuk Champenois (100% électrique, de 12h à 18h, départ sur le parvis de la Mairie de Bezannes) :
- Eglise St-Martin (ouverte de 14h00 à 18h00),
- Groupe scolaire Sylvain Lambert (ouvert de 14h00 à 18h00),
- Cimetière et Tori d'Alfred Lambert,
- Monument aux Morts et Monument Pépin,
- Mail Alan Seeger,
- Parc de la Roselière.
Des concerts sont également proposés :
14h00 -> Crumble On, sur le parvis de la Mairie de Bezannes.
16h00 -> Duo Cortorum (Violon et Guitare), à l'église St Martin de Bezannes.
Affichage des articles dont le libellé est exposition. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est exposition. Afficher tous les articles
samedi 16 septembre 2017
lundi 31 août 2015
Exposition « Le Quartier de Laon » à Reims
Du 1er au 22 septembre 2015 :
Exposition sur le quartier
Avenue de Laon – Lesage – Neufchâtel – St-Benoît & Charles Arnould…
A la demande de l’Association des commerçants du Faubourg de Laon.
Venez découvrir, une sélection de 300 cartes postales et photos de ce quartier et de ses lieux emblématiques (dont 170 agrandissements au format A4),
issues des collections de Laurent Leroy et de Michel Thibault.
Médiathèque Laon-Zola, 2, rue de la Neuvillette à Reims
(à l’angle de la rue de la Neuvillette-Rue Goulin)
(à l’angle de la rue de la Neuvillette-Rue Goulin)
Mardi
|
14h – 19h
|
|
Mercredi
|
10h – 18h
|
|
Jeudi
|
14h – 18h
|
|
Vendredi
|
14h – 18h
|
|
Samedi
|
10h – 12h
|
14h – 17h
|
Michel Thibault est un auteur rémois, spécialiste de la région Champagne-Ardenne ; sa collection est riche de plusieurs milliers de photos et cartes postales.
http://michelthibaultreims.blogspot.fr/
Laurent Leroy collectionne plus particulièrement tout ce qui se rapporte au succursalisme ; il est d’ailleurs le créateur d’un site sur Goulet-Turpin.
www.leroy-goulet-turpin.com
mardi 2 septembre 2014
Robida à Reims... et exposition "Jours de guerre et de paix. Regards franco-allemand sur l'art de 1910 à 1930"
Dans le catalogue publié par Somogy et la Ville de Reims, de l'exposition "Jours de guerre et de paix. Regards franco-allemand sur l'art de 1910 à 1930" programmée au musée des beaux-arts de Reims du 14 septembre 2014 au 25 janvier 2015, figure p. 99, fig. 31 une estampe d'Albert Robida, Kultur Krupp, 49,5 x 32 cm, appartenant aux collections de la bibliothèque municipale de Reims.
Elle montre l'aigle allemand au-dessus du toit de la cathédrale de Reims en flamme. Un texte appartenant au chapitre "Préserver, conserver et restaurer la cathédrale de Reims : une épreuve franco-allemande surmontée", par Yann Harlaut, p. 94-105, évoque cette gravure, p. 97-98 : .... Ce soutien inconditionnel de l'intelligenstia allemande peut être résumé par le terme "Kultur Krupp" illustré par Albert Robida.
Cette estampe représente un gigantesque griffon noir stylisé, rappelant par ses formes l'aigle impérial. Cet animal fantastique pose une serra sur le toit de la cathédrale de Reims en feu et tient un oriflamme portant l'inscription Kultur Krupp. L'association est ainsi manifeste entre la culture et les armes issues des ateliers de la firme Krupp.
L'oeuvre cependant n'est pas reprise dans la liste des oeuvres exposées, ne sert-elle que d'illustration au catalogue sans être montrée dans les salles du musée des beaux-arts ? à suivre...
"Jours de guerre et de paix" est une exposition franco-allemande. 2 musées, le musée des Beaux-arts de Reims et le musée Von der Heydt de Wuppertal en Allemande ont décidé de mettre en parallèle des ouvrages datant de la 1ère guerre mondiale. Une manière originale de révéler les similitudes et les divergences culturelles des deux pays durant le conflit. La période choisie inclut l'avant et l'après guerre. Parmi les thématiques retenues : les coulisses du front, la vie dans les tranchées mais aussi les Années folles. Spécificité française : le thème des ruines.
Parmi les artistes exposés : Max Beckmann, Antoine Bourdelle, Max Slevogt, George Desvallières, Maurice Denis, Otto Dix, Jean-Louis Forain, Oskar Kokoschka.
Ces peintures, sculptures, oeuvres graphiques, documents des collections permanentes des deux musées permettent de confronter certains pans de l'histoire de l'art européenne.
Elle montre l'aigle allemand au-dessus du toit de la cathédrale de Reims en flamme. Un texte appartenant au chapitre "Préserver, conserver et restaurer la cathédrale de Reims : une épreuve franco-allemande surmontée", par Yann Harlaut, p. 94-105, évoque cette gravure, p. 97-98 : .... Ce soutien inconditionnel de l'intelligenstia allemande peut être résumé par le terme "Kultur Krupp" illustré par Albert Robida.
Cette estampe représente un gigantesque griffon noir stylisé, rappelant par ses formes l'aigle impérial. Cet animal fantastique pose une serra sur le toit de la cathédrale de Reims en feu et tient un oriflamme portant l'inscription Kultur Krupp. L'association est ainsi manifeste entre la culture et les armes issues des ateliers de la firme Krupp.
L'oeuvre cependant n'est pas reprise dans la liste des oeuvres exposées, ne sert-elle que d'illustration au catalogue sans être montrée dans les salles du musée des beaux-arts ? à suivre...
Lithographie de Robida, Reims, Les Villes Martyres, 1914
A propos de l'exposition :
Jours de guerre et de paix. Regards franco-allemand sur l'art de 1910 à 1930
A l'occasion du centenaire de la 1ère Guerre mondiale, le musée des Beaux-arts de Reims et le musée allemand Von der Heydt de Wupertal propose un regard croisé sur 14-18 en confrontant des œuvres allemandes et françaises réalisées durant le conflit.
Parmi les artistes exposés : Max Beckmann, Antoine Bourdelle, Max Slevogt, George Desvallières, Maurice Denis, Otto Dix, Jean-Louis Forain, Oskar Kokoschka.
Ces peintures, sculptures, oeuvres graphiques, documents des collections permanentes des deux musées permettent de confronter certains pans de l'histoire de l'art européenne.
Une exposition à découvrir au musée des Beaux-arts de Reims du 14 septembre 2014 au 25 janvier 2015.
mardi 1 juillet 2014
Hommage à Olivier Rigaud (1947-2013) - Bibliothèque Carnegie - Reims - du 27 juin au 23 août 2014
Vendredi dernier, 27 juin 2014, les amis, les collègues, les connaissances d'Olivier Rigaud s'étaient donnés rendez-vous à la Bibliothèque Carnegie pour lui rendre un hommage bien mérité, lors du vernissage de l'exposition :
La bibliothèque Carnegie est alors apparue trop petite pour accueillir toutes les personnes qui avait connu, et surtout apprécié ce personnage incontournable à Reims, urbaniste, et surtout historien et fin connaisseur de tout ce qui avait trait à sa ville.
Le cœur sur la main, et ami dévoué, il n'hésitait jamais à "donner un coup de main" sur de nombreux projets, et apporter les réponses qu'on pouvait se poser, toujours disponible. Il nous laisse un trou béant, et le regret de nous avoir quitté trop tôt... il avait encore tellement de choses à faire, tellement de choses à partager.
L'exposition, qui a lieu du 27 juin au 23 août 2014, nous permet de nous remémorer qui était Olivier, ses nombreuses passions, ses activités professionnelles, mais aussi certainement, de découvrir ou re-découvrir certains aspects cachés ou méconnus de sa personnalité, mais toujours pour notre plus grand plaisir.
Remercions l'équipe de la Bibliothèque Carnegie pour avoir monter si vite cette exposition, mais aussi tous les amis d'Olivier, son épouse et sa famille, les différentes associations dont il était membre, d'avoir fourni de nombreux objets et documents...
Hommage à Olivier Rigaud (1947-2013)
Le cœur sur la main, et ami dévoué, il n'hésitait jamais à "donner un coup de main" sur de nombreux projets, et apporter les réponses qu'on pouvait se poser, toujours disponible. Il nous laisse un trou béant, et le regret de nous avoir quitté trop tôt... il avait encore tellement de choses à faire, tellement de choses à partager.
Remercions l'équipe de la Bibliothèque Carnegie pour avoir monter si vite cette exposition, mais aussi tous les amis d'Olivier, son épouse et sa famille, les différentes associations dont il était membre, d'avoir fourni de nombreux objets et documents...
merci, pour ce bel hommage à Olivier !
jeudi 19 juin 2014
L’exposition hommage à Olivier Rigaud - 28 juin - 23 août 2014
Madame Quéreux, Directrice de la Bibliothèque de Reims et Madame Maffren Conservatrice responsable de la bibliothèque Carnegie ont proposé d’organiser une exposition hommage à Olivier Rigaud, qui se tiendra à la bibliothèque Carnegie de Reims à partir du 28 juin 2014 et jusqu’au 23 août.
Ce lieu “magique”, chef-d'œuvre du style Art déco qu’Olivier fréquentait régulièrement pour ses recherches, possède une salle d’exposition qui lui sera consacrée tout cet été.
Olivier a participé à la rédaction d’ouvrages, il a écrit des chapitres dans des ouvrages collectifs, il a rédigé de nombreux articles. Un grand nombre de ces documents sont référencés dans le catalogue de la Bibliothèque Municipale de Reims, et sont disponibles aux lecteurs, étudiants et chercheurs.
Photographe et collectionneur de cartes postales, Olivier utilisait l’image comme support pour ses travaux, lui permettant d’illustrer son propos ou suscitant sa curiosité, point de départ de nouvelles recherches.
Olivier a été apprécié pour son travail sur l’histoire de la ville de Reims, son patrimoine, il a su faire partager ses découvertes par ses photos, ses collections, ses écrits, des expositions, des conférences, de l’enseignement... et en particulier l’architecture Art déco à Reims.
Son travail sur les permis de construire lui a donné l’occasion de rencontrer de nombreux administrés à qui il a expliqué les raisons des aménagements demandés pour respecter la cohérence de l’architecture de la ville ou de ses quartiers. Avec les collaborateurs du Service de l’Urbanisme de la Ville, il a travaillé sur les grands projets et concours organisés par la ville : Palais des congrès, aménagement du parvis de la Cathédrale, les Halles de Reims, la caserne des pompiers, le conservatoire de musique...
Son implication dans le milieu associatif, Amicarte 51, Reims-Histoire-Archéologie, Commission Régionale du Patrimoine et des Sites, Comité Scientifique de l’Institut des Métiers du Patrimoine, Association des Architectes du Patrimoine, lui permettait de partager ses passions.
Au travers des vitrines de cette exposition, retrouvons le savoir, la passion, et la générosité d’Olivier…
Chantal RIGAUD
jeudi 5 juin 2014
MARGIVAL Ferme de Montgarny 1914-2014
Centenaire 1914.
Mobilisation Générale des troupes les 7, 8 et 9 juin 2014 à la Ferme de MONTGARNY (commune de MARGIVAL dans l'Aisne)
Depuis REIMS, direction le CHEMIN DES DAMES et à l'ouest, au pied de Laffaux, village mémoire du Chemin des Dames, dans la vallée, la Ferme de Montgarny 1914-2014 vous accueille ce week-end (7, 8 et 9 juin 2014) avec les troupes françaises et allemandes en tenue 14-18, autour de leur cuisine roulante, dans leur bivouac. Nombreuses expositions (coiffes militaires, photos...) de 10 à 18 heures.
De 1914 à 1917, la ferme de Montgarny était occupée par un lazaret...Les 7, 8 et 9 juin 2014, la ferme de Montgarny recevra en ses murs les infirmières de FRONT SCHWEIN !....Je vous invite à venir les saluer !!!
lundi 4 novembre 2013
A voir - Exposition Frédéric VOISIN...
à Charleville-Mézières, Musée de l'Ardenne.
Les gravures de Frédéric VOISIN, des années 80/90 et 2000 + Couv. de disques, Affiches, etc.
du 31 octobre au 31 décembre 2013
samedi 2 novembre 2013
Traces et Fragments 14'18 à Beine-Nauroy
"Les amis de Nauroy" et la bibliothèque vous invitent.
Exposition à la Bibliothèque de Beine-Nauroy
jusque fin novembre 2013.
TRACES et FRAGMENTS 14'18
Regards d'hier et d'aujourd'hui sur
les villages détruits de Champagne
Exposition accompagnée de photographies de Christophe Manquillet
Mardi 16h00 à 18h30 - Mercredi 10h00 à 12h00 et 14h00 à 18h30
Vendredi 16h00 à 18h00 - Samedi 14h00 à 15h30
mercredi 6 mars 2013
7 avril 2013 - Exposition : Les Cafés
A l'occasion de la 32è Bourse de Cartes Postales et
du 26ème Salon toutes collections,
de 9 à 18h dans les Celliers de Castelnau à Reims,
venez découvrir l'Exposition sur
les Cafés Rémois et de la Marne
(entrée 3 €)
Les Cafés Rémois
Au moment où éclate la 1ère guerre mondiale, il y a exactement 99 ans, Reims avoisine les 120 000 habitants. C’est la 12e ville de France.
Le café-buvette est alors l’un des établissements les plus représentés par la carte postale. La place Drouet d’Erlon est déjà le site le plus animé, mais il n’est pas le seul.
Les images de l’époque nous permettent de découvrir les cafés du centre-ville mais également ceux des quartiers plus périphériques qui peuvent accueillir les citadins en fin de semaine ou les jours de fête.
On y boit et on y danse, c’est l’un des lieux de loisir où se réunissent les associations réglementées depuis la loi de 1901. La guerre survient, les cafés ferment, sont détruits par les bombardements.
Les cartes postales nous en montrent plusieurs en ruines.
Le conflit terminé, la population revient au fur et à mesure.
Des cafés s’installent dans des baraques provisoires au milieu des quartiers dévastés.
Petit à petit, la ville se reconstruit, la place Drouet d’Erlon retrouve son animation primitive.
Il n’en est pas de même sur la place Royale qui mettra plus de vingt ans à recomposer sa silhouette du début du siècle mais où ce genre d’établissement ne reviendra plus accentuant son caractère administratif.
Si des commerces s’y retrouvent, les cafés n’y verront plus le jour.
Ils seront même interdits pour des raisons d’hygiène et de salubrité publique dans les nouveaux quartiers des années 1920, les cités-jardins, nombreuses à Reims.
Les Cafés de la Marne
Avant la guerre de 14, il existe 694 communes dans le département de la Marne.
La plus petite d’entre elles possède généralement au minimum une église et un café.
La carte postale, dont c’est la grande époque, nous offre généralement l’une et l’autre.
Le café peut se trouver au milieu du village, lié à un hôtel ou un restaurant.
Il peut tout autant faire partie d’une épicerie du village, enseigne de l’une des principales chaînes locales de Magasins à Succursales Multiples ou à un débitant de boissons.
On peut également le trouver en périphérie, à côté de la gare en attendant le train ou le CBR et s’il est situé hors agglomération, cela peut permettre d’y trouver l’alcool moins cher, dispensé de la taxe de l’octroi. Il peut aussi être lié à un bal.
Si les techniques d’alors ne nous permettent pas encore, pour une question de luminosité, de nous présenter l’intérieur, les gros plans de l’extérieur nous font découvrir des scènes souvent animées de consommateurs.
Nous trouvons là souvent les plus belles animations d’il y a cent ans, nous faisant découvrir des villages dont plusieurs disparaitront en totalité entre 1914 et 1918.
Quelques cartes nous décrivent les villages détruits. Nous voyons ensuite la vie qui reprend dans des baraquements provisoires puis qui se reconstruit enfin avec une ambition plus ou moins grande. Les cartes modernes sont plus rares mais pas inexistantes.
Inscription à :
Articles (Atom)